
Dépression
Tout ce qui concerne la dépression et les marches à suivre pour la vaincre.
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Ton burn-out, avant le mien
Fabien s'appuya sur l’îlot de la cuisine, l'épuisement de la journée pesant sur ses épaules. Ses yeux se posèrent sur la télévision, où il regardait à moitié un documentaire sur le burn-out dans les entreprises européennes. Il était sur le point de tout éteindre, lorsque quelques phrases retinrent son attention : fatigue, manque de motivation, difficultés à trouver du plaisir dans des choses qui semblaient intéressantes auparavant, sautes d’humeur, et plus. Il se redressa, se


La dépression est de saison
Ce mardi matin-là, Anna était assise dans sa voiture, observant le givre qui s'accrochait à ses vitres avec obstination. C'était son cinquième hiver dans le nord de la France, et bien qu’elle appréciait contempler les parcs enneigés et les lumières festives de Noël, elle n’était toujours pas habituée au froid et à ce ciel gris qui s’éternisait. Elle se sentait assez chamboulée depuis la fin du mois de septembre, mais elle doutait des raisons qui pouvaient justifier de son éta


Calme toi ! Pt.2
« Oh, ça va, on est tous un peu déprimés !” Darren était assis au bord de son lit, laçant ses chaussures. Son téléphone vibra sur la table de nuit avec un texto de son collègue Michael. Il lui disait : « Bonjour mon ami, tu es encore en retard mec. Le chef est furax. T’es encore dans ta phase bizarre ? » Il fixa le message jusqu'à ce que les mots deviennent indistincts. Michael lui avait donné un avis assez direct la semaine précédente, quand Darren lui avait finalement avoué


Le miroir menteur
Camille était assise à la fenêtre de sa salle de classe vide, tapotant son stylo d'un air pensif. La journée enfin terminée, elle observait le soleil projeter de longues ombres sur la cour de récréation. Dehors, les enfants riaient et couraient, afin de rejoindre leurs parents à la sortie de l’établissement. Exceptionnellement, elle n’avait pas accompagné sa classe au préau, mais c’était probablement à cause de cette fameuse lourdeur familière qui lui oppressait la poitrine…


Une raison de s'accrocher
Rosie avait toujours été une petite fille heureuse. Sa maison était pleine d’animations et de rires. Sa mère Julie, infirmière à l'hôpital du 13ème arrondissement de Paris, était une femme bienveillante, souriante et aimée de tous. La mère et la fille passaient la plupart de leurs week-ends à préparer des cookies, à jouer à des jeux marrants ou à se promener au parc du quartier. Chaque soir, Rosie adorait que sa mère la borde en lui racontant des histoires passionnantes et ma